Sujet: (alec) t'es l'roi des cons. Mar 31 Jan - 16:27
Citation :
FUCKYEAHBBARNES@TUMBLR
« hilden, alec » “ - les idées en place, la tête en l’air, j’observe l’espace, le cœur à l’envers. y' a du monde là-haut, regarde comme c’est beau ! il ne manque plus que toi et ton sourire dans mon vaisseau - ”
Make this dream
nom ▲ hilden.prénom ▲ alec.âge ▲ vingt-huit ans.date et lieu de naissance ▲ deux avril, à londres.nationalité ▲ anglaise.métier ▲ professeur de langues.situation familiale ▲ célibataire.groupe ▲ out of reach.avatar ▲ ben barnes.
The best i've ever known
si je te dis " bitchy cupid ", tu me réponds ? hum que c'est une pétasse ça vous suffit ? qu'elle doit avoir ses raisons après tout, on réagit comme ça pour une raison. que tant qu'elle ne s'attaque pas à moi, tout va bien : mais dès qu'elle s'approche un peu trop, attention, je mords. si je te dis " rio de janeiro ", tu me réponds ? la ville du rêve, du bonheur, et de tout ce qui va avec. que je suis arrivé ici par pur hasard, mais que finalement, j'aime plutôt l'endroit. la ville de la décadence, où faire la fête et draguer sont maîtres : ce qui n'est pas si mal. si je te dis " agissements de bitchy cupid ", tu me réponds ? que je n'ai jamais été touché par elle ; pour l'instant, elle me laisse en paix, mais pour encore combien de temps ? qu'elle doit me lâcher une bonne fois pour toute, je commence vraiment à en avoir assez. qu'elle m'a sûrement dans son collimateur, et que je l'attends au tournant cette pétasse.
Take me down like i'm a domino
pseudo ▲ little.love.âge ▲ dix-sept ans.région ▲ pays-de-la-loire, ouais ouais !comment as-tu trouvé WFL ? ▲ sur bazzart.et sinon, t'en penses quoi ? ▲ le design me fait rêver.dernier mot ? ▲ bonne année !
Dernière édition par Alec Hilden le Mar 31 Jan - 16:56, édité 2 fois
Sujet: Re: (alec) t'es l'roi des cons. Mar 31 Jan - 16:28
Dirty dancing in the moonlight
J'avais encore sur le bout des paroles cette parole que j'ai osé dire à Teresa, ce mensonge " je ne t'ai jamais aimé alors oublie-moi " , je fermais les paupières, serrant la bandoulière de mon sac. Un vertige m'envahissait, j'avais mal au coeur. C'était bien l'une des premières fois que cela m'arrivait. Moi qui ne croyait pas en l'amour, ou du moins, qu'aux coups de foudres passionnels et éphémères. Lorsque j'ai parcouru le monde, j'en ai croisé des regards, croisés des personnes débordants de joie de vivre et de bonheur à revendre. J'en ai aimé des personnes, touché des corps, sécher des larmes, écouter des paroles. Mais, elle était l'unique. La seule qui s'était accrochée de cette manière à mon être, à ma personne. N'allez pas pensez que toute ces autres personnes que j'ai croisé ne m'ont rien apporté, au contraire, c'est ce qui m'a enrichi, et c'est ce qui a fait que je suis celui que je suis à présent. Parcourir ce monde m'a forger un caractère, une personnalité et j'étais là, à redouter un départ. Ce n'était pas la première que je désirais quitter un pays pour partir à la conquête d'un autre, pas la première que je fuyais sans un au revoir, pas peur d'être blessé, par lâcheté. J'ai laissé plus d'une personne derrière moi, n'en oubliant pas pour autant tous ces souvenirs que j'ai pu partager avec elles. Mais là, penser à Teresa me faisait mal, m'obligea même à m'appuyer contre un mur pour en éviter de m'écrouler sur le sol. Je ne comprenais pas, pourquoi ? C'était interdit - non pas que je redoute les interdits, bien au contraire, mais je ne voulais pas gâcher sa vie, je ne voulais être la cause de son échec. Elle était promise à un homme, puis j'étais bien plus vieux qu'elle. Pourquoi s'est-elle attachée à moi ? Je ne lui ai rien demandé, je ne voulais pas. Un du personnel de l'aéroport s'approcha de moi, les sourcils légèrement froncés, ceci indiquait son interrogation. Monsieur, avez-vous besoin d'aide ? me demanda-t-il. C'est alors qu'une larme s’échappa de mon oeil, glissant le long de ma joue. J'étais habitué à tout conserver pour moi-même, habitué à offrir une image d'un homme sûr, que rien ne blesse. Je me redressai, déposant une main sur l'épaule de cet homme qui ne semblait pas comprendre mon attitude. J'ancrai mon regard dans le sien tout en sortant le billet de mon envol de ma poche. Je l'ai longuement regardé, hésitant avant de le tendre au jeune mec. Prenez-le, faites-en ce que vous voulez ! murmurai-je avant de repartir, de quitter cet aéroport afin de me jeter à nouveau dans la ville. J'étais habitué à tout envoyer tout plaquer en deux secondes, j'étais un éternel indécis qui suivait régulièrement ses envies sans se préoccuper de la conséquence de ses actes. La preuve ? j'ai quitté mes parents, jeune, afin de poursuivre mon rêve, d'enrichir ma passion. Je suis quelqu'un indépendant, qui n'aime pas qu'on lui dise quoi faire - même si là, je pense avoir fait une sacré connerie. J'avais repoussé Tereza, pour finalement m'insérer à nouveau dans sa vie. Pauvre con, voilà ce que j'étais, ce qu'elle allait probablement. C'que j'aimerais qu'elle me déteste, les choses seraient alors foutrement plus simple. En quelques minutes, je repris place au sein de mon appartement - du moins, après avoir pris le soin d'annoncer à mon concierge que je le rachetais. Je me suis jeté sur mon bureau, et me suis remis à écrire. Tereza m'inspirait, penser à elle me faisait rédiger des quantités de pages, j'employais des mots qui avaient à présent de nouveaux sens.
Dernière édition par Alec Hilden le Mar 31 Jan - 17:28, édité 1 fois