Citation :

colestclair.tumblr

« petrova, tereza mariya »
“ - Ce n'est pas grand-chose et en même temps c'est beaucoup. Rien n'est jamais anodin mais on appréhende pas toujours correctement les répercussions de ses actes. - ”

Make this dream

nom ▲ Petrova, le nom de mon paternel. prénom(s) ▲ Tereza, Mariya en deuxième prénom vive l'originalinalité. âge ▲ vingt un an et oui j'en fais moins n'est-ce pas. date et lieu de naissance ▲ un certain 2 décembre à Moscou Russie. nationalité ▲ russe. études/métier ▲ étudiante en langues étrangères. situation familiale ▲ fiancée rien que ça, mais c'est bien plus compliquée groupe ▲ troubles come. avatar ▲ kristen YFAITTROPCHAUDICI stewart.

The best i've ever known


si je te dis " bitchy cupid ", tu me réponds ?
hum que c'est une pétasse ça vous suffit ? qu'elle doit avoir ses raisons après tout, on réagit comme ça pour une raison. que tant qu'elle ne s'attaque pas à moi, tout va bien : mais dès qu'elle s'approche un peu trop, attention, je mords.
si je te dis " rio de janeiro ", tu me réponds ?
la ville du rêve, du bonheur, et de tout ce qui va avec. que je suis arrivé ici par pur hasard, mais que finalement, j'aime plutôt l'endroit. la ville de la décadence, où faire la fête et draguer sont maîtres : ce qui n'est pas si mal.
si je te dis " agissements de bitchy cupid ", tu me réponds ?
que je n'ai jamais été touché par elle ; pour l'instant, elle me laisse en paix, mais pour encore combien de temps ? qu'elle doit me lâcher une bonne fois pour toute, je commence vraiment à en avoir assez. qu'elle m'a sûrement dans son collimateur, et que je l'attends au tournant cette pétasse.

Take me down like i'm a domino

pseudo/prénom ▲ mélina aka stereo hearts. âge ▲ attends je compte sur mes doigts . région ▲ quelque part entre le monde d'harry potter le monde des bisounours . comment as-tu trouvé WFL ? ▲ peut être par ce que c'est le mien . et sinon, t'en penses quoi ? ▲ pfff question suivante dernier mot ? ▲ kassdédi à mon amour, ma femme lama, ma saranounette et ma lorachou

Dirty dancing in the moonlight

i need you in my life, save me sweet sister.

Enfin je t’ai trouvé ! Tout le monde te cherche Tereza. J’essuyai rapidement mes larmes avant qu’Anastasia me découvre dans un état… assez pathétique je dois bien l’avouer. Jamais personne ne m’avait pleuré, pleurer réellement. Pas ces « larmes » que j’avais usées de nombreuses fois, pour que notre père cède à un caprice. Ne dit-on pas qu’il y a un début à tout ? Je ne faisais pas exception à cette stupide règle. Je tournai la tête vers Annie, un faible sourire sur les lèvres. Du loin que je m’en souvienne j’ai rarement vu Annie, en colère, elle avait toujours cette étincelle dans les yeux. Ceux qui la rendent bien plus jolie que moi, elle était la femme parfaite à mes yeux. Je l’enviais oui j’enviais tout d’elle. Même cette liberté qu’elle avait, Annie n’était plus au crochet de papa, elle avait réussi à grandir loin des magouilles de notre père. Tu nous as tous foutu une trouille bleue. Surtout à ton fiancé. Qu’est-ce qui se passe ? A ce mot, un rictus étira mon visage. Si seulement elle savait la vérité. Toute cette mascarade n’était que de la poudre aux yeux. Un amour qui n’existe pas, un mariage arrangé, des sourires hypocrites, des baisers qui me dégoutaient. En somme le mariage que je « rêvais » d’avoir. Je t’envie Anastasia. Je n’ai… J’ai juste pris peur c’est tout. Tu sais c’est juste un coup de stress. Nous devrions retourner dans la salle. La main d’Annie se posa sur la mienne, nous avions rarement ce moment entre sœurs voir même jamais. Elle et moi nous n’étions pas si proches que cela mais, depuis peu j’avais l’impression de rattraper toutes ces années que j’avais perdu loin d’elle. Il y a peu je n’aurais jamais mentionné que j’avais une sœur. Aujourd’hui j’étais fière de prononcer son prénom. Elle était devenue un point important de ma vie. Es-tu sure de ce que tu dis ? Anastasia avait une faculté inouïe pour découvrir quand je mentais. Si j’arrivais à manipuler, à mener par le bout du nez mon petit monde. Anastasia était la seule et surement l’unique où mes tentatives de corruptions et de mensonges restaient vaines. Mais oui. Je vais épouser un homme formidable, quelles filles ne rêveraient d’épouser son prince charmant ?…Je n’y croyais pas moi-même à ce mensonge, un mensonge aussi gros qu’une maison. Plus je mentais sur cet amour, plus je m’enfonçais dans les abîmes. J’avais beau essayé d’aimer Rafaël, mon cœur ne voulait pas de lui. Il n’y avait pas de place pour lui. Moi par exemple. Surtout quand ce mariage n’est pas vraiment celui dont on rêve. Ecoute Tereza, je sais que tu fais tout ça pour papa. Mais, ne le laisse pas gâcher ta vie surtout pas comme ça. Toi comme moi, nous savons que tu n’aimes pas Rafaël. Tu peux tromper les autres mais tu ne pas peux pas continuer à te mentir ainsi. Anastasia me prit dans ses bras avant de déposer un baiser dans mes cheveux. J’aurai aimé être comme elle, forte et avoir un but dans la vie. J’ignorais quel était le mien, où est-ce que toute cette histoire aller m’emmener ? Elle avait raison… D’un geste tendre Anastasia serra ma main dans la sienne. A cet instant précis je savais que je pouvais compter sur elle quelque soit ma décision.

i can't love you, you're not my prince charming.

Le sourire aux lèvres, je tentais de sauver les apparences, cacher mes sentiments pour un autre. Ma vie se résumait à ce jeu de masque, sourire pour montrer que j’étais la femme la plus heureuse sur terre. Pour ces personnes j’allais me marier, un mariage arrangé par mes parents et ceux de mon futur mari. Ni lui et moi ne nous aimions réellement, enfin pas d’un amour comme le voudrait ces personnes. Rafaël et moi nous ne ressentions rien l’un pour l’autre, à part de l’amitié. J’aimais un autre homme, cependant nous ne pouvions jamais vivre heureux ensemble. Tereza il faut qu’on se parle. Rafaël semblait inquiet, je posai mon verre tout en souriant à mon interlocuteur. Le jeune brésilien marchait d’un pas rapide, je l’avais rarement dans un état pareil. Ce qui ne me rassurait guère sur le sujet qu’il voulait aborder. Assez loin des invités, Rafaël s’arrêta dans le couloir, une mine assez sérieuse juste assez pour me faire peur. Le silence s’installait peu à peu. De quoi voulais-tu parler ? Rafaël tu commences à me faire peur. C’est Alec ? Il se gratta l’arrière de la tête, avant de planter ses prunelles dans les miennes. Je savais qu’Alec devait être impliqué dans cette nouvelle bonne ou mauvaise. Oui, il s’en va. Il rentre en Angleterre ce soir. Mon cœur eu un raté phénoménal. J’ignorais ce que je devais faire, le retenir encore ou bien le laisser partir. Souffrir encore et encore. Tellement de contradictions dans cette relation. La main de Rafaël se posa sur mon épaule, malgré son sourire j’avais du mal à retrouver le mien. J’allais perdre définitivement l’homme que j’aime. Tu devrais aller le voir avant son départ. Malgré les apparences je devrais le détester mais c’était loin d’être le cas. Rafaël était mon ami, le seul que j’avais ici. Le seul qui essayait de m’aider et qui me couvrait lorsque je devais voir Alec. Je ne le remercierai jamais assez pour ses services qu’il m’avait rendus. Peut être… Pourquoi il ne m’a rien dit ? Le jeune brésilien se contenta d’hausser les épaules devant ma mine déconfite. Sans un mot de plus, juste des larmes je me réfugie dans les bras de mon ami. Me questionnant sur ce que je pouvais perdre si je n’agissais pas vite. Je savais que je pouvais compter sur Rafaël si rien n’allait. J’espérais le contraire de toute mes forces.

don't make me sad, don't make me cry.

Les larmes aux yeux, mes mains accrochaient à la chemise d’Alec, et ce silence bien trop pesant entre nous deux. Avec tout la volonté, la détermination malgré mon amour je voyais Alec me filait entre les doigts. Plus ce mariage ne se confirmait avec Rafaël, je perdais l’homme de ma vie. Rien ne destinait Alec et moi-même de s’amouracher l’un de l’autre. Nous étions différents l’un de l’autre, il était mon professeur, j’étais plus jeune que lui. Non rien ne nous destinait à vivre une telle chose si sincère. Pourtant aujourd’hui ces différences nous sautaient au visage, nous rappelant la cruelle vérité que nous ne pouvions pas vivre ensemble. Les mains du jeune homme enveloppèrent les miennes, ses lèvres se posèrent sur le sommet de ma tête. Tereza… Mes yeux croisèrent ses prunelles noisettes, je ne voulais pas croire que « nous » c’était fini. Je refusais de croire que cette vie avait eu raison de notre amour. Mes mains glissèrent contre lui, j’étais la seule à vouloir sauver notre histoire. Je suis vraiment désolé… On ne devrait pas continuer. Crois-moi tu mérites mieux que moi. Rafaël est un bon parti. Nous deux ensemble, nous n’avons pas d’avenir. Je suis un prof misérable, puis il y a l’âge. Mon cœur se serra de plus en plus. Je ne pourrais pas supporter de le voir loin de moi, de ma vie. Un déchirement… Alec était mon histoire défendu, mon souffle, le drame de ma vie, l’amour que j’avais longtemps cherché. Aujourd’hui, je le perdais sans être en mesure de me battre. Je te souhaite d’être heureuse. Quittons le Brésil ce soir. La surprise se lisait sur le visage du jeune anglais. Pour la première fois de ma vie j’étais sérieuse, et prête à m’attirer les foudres de ma famille pour lui, pour cet homme. Quoi ?.... Non c’est une très mauvaise idée. Tu es fiancée Tereza tu ne peux partir sur un coup de tête. Tu es loin d’être un coup de tête Alec, bon sang pourquoi ne se battait-il pas ? Pour notre histoire ? Pour moi ? Je ne comprenais plus vraiment Alec. Il était si étrange…. Si distant dans ses propos. Son regard était fuyant. Pourquoi Alec ? Je ne serai jamais heureuse si tu n’es pas près de moi. Je n’aime pas Rafaël, c’est toi que j’aime. Tu es loin d’être un coup de tête. Ses yeux vrillèrent vers moi, son regard était froid. Quelque chose se brisa à ce moment précis, au fond je savais que mon destin allait suivre son chemin sans lui. Malgré mes tentatives pour le retenir, je le poussai vers la sortie indéniablement. Merde Tereza, dans quelle langue il faut que je te le dise. Nous deux c’est impossible. Je ne t’ai jamais aimé alors oublie-moi. Ses mots étaient crus, tranchants, froids. Mon cœur éclata, mon monde venait de s’écrouler sous mes yeux impuissants. Je pleurais là, tandis qu’Alec sortit rapidement du salon. Je me sentais idiote, trahie d’avoir cru à ces belles paroles. J’avais cru à ces « je t’aime », à nos projets, ces baisers. Pourtant j’avais vu dans ces prunelles la vérité, il ne m’avait jamais menti alors pourquoi dire le contraire ? Alors, est-ce moi qui avait tout inventé aveuglé par un amour défendu ?