Citation :

CREDITS BANNIÈRE/GIF

« grayson, ivy-bell jaymes sutton dite hadès »
“ - baby, i'm not like the fucking rest. - ”

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Des images me reviennent. Comme des souvenirs tendres. D'une ancienne ritournelle. Autrefois en décembre. Je me souviens il me semble. Des jeux qu'on inventait ensemble. Je retrouve dans un sourire. La flamme des souvenirs. Doucement un écho. Comme une braise sous la cendre. Un murmure à mi-mots. Que mon coeur veut comprendre. Je me souviens il me semble. Des jeux qu'on inventait ensemble. Je retrouve dans un sourire. La flamme des souvenirs. De très loin un écho. Comme une braise sous la cendre. Un murmure à mi-mots. Que mon coeur veut comprendre. Une ancienne ritournelle. Loin du froid de décembre.

comment allez vous l'appelez madame ? demanda le médecin qui tenait le nouveau né dans ses bras, une couverture l'enveloppait, une couverture rose, c'était une petite fille. Il s'avança de quelques pas vers la femme allongée sur le lit d'hôpital, elle avait l'air épuisée mais elle n'était pas comme toutes les autres femmes, elle avait le dos tourné au médecin, elle regardait le ciel, elle n'avait pas le regard posé sur sa fille. madame ? re-demanda-t-il en perdant le sourire qu'il avait sur les lèvres. Il serra un peu plus fort le nouveau né dans les bras, il jeta un regard nerveux aux infirmières qui se trouvaient dans la pièce, une avait une main sur la bouche, en signe de choc. Le médecin baissa la tête et comprit alors la décision de la mère, elle refusait son enfant. emmener là, je ne peux pas la garder ... je ne suis pas faite pour elle. finit-elle par lâcher alors que le médecin commençait à sortir de la pièce. Il s'arrêta et sans même se retourner, sans même la regarder, il dit d'un ton dur. C'est votre choix, mais vous allez le regretter ... il n'aurait pas du lui parler sur ce ton, mais c'était son premier cas, c'était la première fois qu'une mère qui, lorsqu'elle était arrivée, avait hâte de voir son enfant naître, et au final ne pas la reconnaître. Il regarda l'enfant et lui sourit tristement, il sortit alors de la chambre de la femme. Naître seule n'est pas vraiment un bon commencement dans la vie d'un enfant. Il ne sait rien du monde dans lequel on l'a expulsé, il ne sait rien de ce qu'il doit être, de ce qu'il est. L'enfant qui est née le jour d'halloween ne le saura jamais. Seulement une chose, elle est née à Rio de Janeiro, dans un petit hôpital. C'est ce qui est et sera écrit sur son acte de naissance, son poids, sa taille et un prénom donné au hasard, Ivy-Blue. C'est tout ce qu'elle saura de ses racines, elle ne saura rien d'autre. Cette enfant restera dans l'hôpital de RDJ pour n'y rester que quelque temps avant qu'elle se fasse adopter par essaie par une famille française, malheureusement son sort ne sera destiné qu'au même que celui d'un chiot, pour cette famille, l'idée était d'avoir un petit enfant à la maison et qu'il ne grandisse jamais, pourtant ce n'est pas réellement ce qui s'est passé, à deux ans seulement Ivy partira dans un foyer, en ce temps là il n'y avait pas de problème, si l'essai n'était pas convaincant on ne pouvait pas garder un enfant et le rendre malheureux, pourtant c'est ce qu'elle vécut jusqu'à ses sept ans. Lorsqu'elle eut sept ans, elle s'en rappelle très bien, l'orphelinat était en émoi, une famille brésilienne, très riche, voulait adopter un enfant, c'était la panique dans l'établissement, mais du haut de ses sept années la petite Ivy n'a rien fait, elle est restée assise sur son banc comme elle le faisait depuis qu'elle était arrivée à l'orphelinat, espérant que sa maman revienne la chercher. Pourtant ce jour là, elle ne s'attendait pas à avoir un sourire radieux sur ses lèvres. Puisque c'est elle qui avait été choisit par cette famille, elle et pas les autres. Sa vie avait reprit un nouveau départ quand elle prit la main de cette femme à la tête d'un blond éclatant, qui faisait apparaître une lueur dans les yeux de cette enfant aux cheveux bruns ternes. Les yeux de sa nouvelle maman étaient d'un bleu océan, elle n'avait jamais rien vu d'aussi beau. Tout ce que put dire la jeune enfant c'était tu es belle ! auquel sa nouvelle mère ne s'était pas empêchée de la prendre dans ses bras tandis que son mari signait les papiers pour finaliser l'adoption. et voilà, c'est terminé. Maintenant tu t'appelles Ivy-Blue Grayson-Gomez dit-il en lui caressant la joue, la demoiselle sourit. Gênée de toute cette attention qu'elle n'avait pas reçu auparavant. Ils partirent, Ivy-Blue au milieu des deux, un joli tableau, cliché ? non pas pour la petite de sept ans, c'était un rêve, elle s'arrêta, stoppant ses deux nouveaux parents, elle se retourna et fit un signe de main en guise d'au revoir.

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bon sang ivy, s'il te plait dépêche toi, j'ai envie de faire pipi aussi ! entendit-elle derrière la porte, cette phrase et le ton qu'avait employé sa soeur la faisait sourire. Ce n'est pas pour autant que Ivy allait se décider à sortir des toilettes. Elle avait déjà terminé de faire pipi mais rien que pour faire chier Faye encore un peu elle allait rester encore un peu. mais j'ai pas finis, t'attend ton tour ! comme tout le monde dit-elle en riant. mais je t'ai entendu tirer la chasse, je t'ai grillé allez maintenant sors, on va être en retard à la soirée ! Ivy soupira, assise sur le trône, elle secoua la tête, ses cheveux tombèrent en cascade. t'es même pas marrante, c'est bon je sors, de toute façon tu sais très bien qu'à une soirée on arrive jamais à l'heure ! sa meilleure amie avait encore gagné et ça tapait sur le système de Ivy. Elle se mit alors debout et ouvrit la porte qu'elle avait fermé à clés. voilà contente ? moi je vais prendre ma douche, je reviens et surtout ne pique pas ma robe, compris ? dit-elle en boudant alors que sa meilleure amie la poussait pour rentrer dans les toilettes. Ivy partit alors dans la salle de bain, enleva son shorty et son tee-shirt pour filer sous la douche, l'eau coula lentement dans son dos, mouillant ses cheveux. Elle ressortit de la douche, un quart d'heure plus tard, sentant un doux parfum d'amande douce, une peignoir sur elle et une serviette enroulant ses cheveux sur la tête. oh la jolie tête, cheeeeeeeese dit-elle en se jetant sur elle, un appareil photo à la main, le flash tomba sur Ivy. mais t'es folle, look la tête que j'ai ! dit-elle en arrachant l'appareil photo et regarda la photo ne la supprime pas, ça fait des souvenirs comment ça ça fait des souvenirs ? Faye sourit en guise de réponse. Pourtant même avec ce sourire, Ivy avait peur de ce que son amie pouvait lui dire sur le moment. Depuis ses sept ans, la jeune Ivy vivait dans cette magnifique maison, avec ses parents adoptifs, les Gomez. La famille dont elle avait toujours rêvé, pour elle, le nom Grayson n'avait pas réellement sa place dans son identité, elle se sentait Gomez et le sera toute sa vie. Ivy n'avait que treize ans à ce moment là, à ce moment précis où sa meilleure amie et sa première amie, allongée dans son lit, elle debout la regardant d'un air pleins de question, Ivy commençait déjà a voir son monde s'écrouler avec la mauvaise nouvelle de sa meilleure amie. c'est sûrement la dernière soirée qu'on passe ensemble Ivy. La brunette laissa tomber la serviette qui retenait ses cheveux par terre, elle ouvrit al bouche mais elle ne comprit pas tout a fait ce qu'elle essayait de dire. quoi ? elle n'avait pas très bien compris. je pars demain, pour New-York. Je suis désolée, je viens juste de l'apprendre, je veux pas partir et je veux pas te laisser mais tu as Nils au moins, tu ne seras pas toute seule ... enchaîna-t-elle, les yeux baissés sur ses mains entrelacées. non tu ne peux pas partir, c'est nous deux contre le monde, tu te rappelle pas ? l'une de nous deux devait devenir la première présidente des Etats-Unis, de marcher sur la lune, de rencontrer l'amour comme dans Sex and The City. Tu peux pas partir maintenant ! finit-elle, les larmes aux yeux, sa meilleure amie se leva et la prit dans ses bras, elles restèrent dans les bras l'une de l'autre toute la nuit, la soirée n'eut pas lieux, il y avait bien plus important. Ivy ne revit pas Faye depuis ses treize ans, elles ont toujours gardé contact, même maintenant, elle lui manque terriblement.

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Comme une enfant qui rêve au prince charmant. Un sentiment qui trouble et qui surprend. Je ferm' les yeux et tout est différent. C'est le début je le sens.. On n'm'a rien dit, je savais que c'était toi. Qu'une autre vie, commençait ce jour là. Une évidence, Une prière, une urgence qui devient nous. Et même si la route est bien longue à la fin. Et même si le doute nous fait serrer les poings. L'amour nous rassure, brise le mur des incertitudes. J'apprendrai à lire dans to regard. Je serai le dernier des remparts. Rien ne sera plus comme avant non. C'est le début, je le sens…

non mais t'es pas sérieux j'espère ? tu crois vraiment que je vais faire ça ? dit-elle, la bouche ouverte et les yeux rond. Assise sur le canapé, la jeune femme avait son verre d'alcool à la main. Le regard amusé de celui qui venait de la surprendre la fit soupirer, elle but une longue gorgée et posa son verre sur la table basse en fasse d'elle. franchement c'est pathétique. dit-elle en se redressant. je suis désolé, mais c'est le jeu, tu dois le faire. Ivy leva les yeux au ciel, et prit son débardeur par le bas et le souleva, l'enlevant, laissant apparaître son soutiens-gorge. Elle jeta son débardeur à la figure de Nils qui sourit. voilà content ? dit-elle d'un ton amer. La soirée commençait à tourner bizarrement. tu ne peux même pas savoir. oh arrête de te rincer l'oeil, tu les connais déjà assez ! dit-elle en buvant sa boisson, un sourire aux lèvres. Elle essayait de ne rien laisser paraître, mais c'était difficile à vrai dire ... Elle avait comme des papillons dans le ventre, et ça à chaque fois qu'elle était en sa présence, à vrai dire depuis le premier regard échangé avec ce chieur de service, Ivy en était tombée follement amoureuse, vous savez le coup de foudre ? mais celui qui ne se manifeste pas et qui vous rend fous, qui vous brûle de l'intérieur à chaque fois qu'on est en présence de la personne aimée. bon je vais me chercher à manger dit-elle en se levant, simplement en shorty et soutif, elle passa devant lui et prit la route de la cuisine, elle essayait de se calmer, chose difficile. alors comment ça se passe avec Dereck ? lui demanda-t-il soudain, comme si il venait de se réveiller. Oh ça va, enfin je crois ... dit-elle en baissant le regard, la tête dans le frigo, elle essayait de ne pas paraître stressée. il est en plein exam, donc on peut pas se voir aussi souvent qu'on le voudrait ajouta-t-elle en remuant le couteau dans la plaie. ah ... Elle prit alors un pot de glace dans le mini congélo et sortit de la dedans, elle commençait à avoir froid. Elle se redressa et prit une cuillère a soupe et se redirigea dans le salon, Nils était debout et s'apprêter à partir. T'es sérieux, tu pars déjà ? demanda-t-elle déposant sa glace sur la table basse. Ouais et puis j'ai pas envie de savoir tes plans culs. La jeune femme tomba de haut mais se reprit très vite. Donc je me casse. Oh mais alors toi, tu vas pas partir comme ça ! Mais t'es sérieux un peu dans ta vie ? Tu me dis que t'en a rien à foutre de mes plans culs ? Je te rappelle que c'est toi qui a commencé à me parler de ta Jessica je sais pas quoi et après tu me demande comment ça se passe avec Dereck pour finalement te barrer ? Elle tourna la tête. N'ose même pas répliquer parce que là t'es en tord Nils ! C'est bon t'as finis ? la jeune femme de vingt deux ans sentit son corps s'enflammait. casse toi ! lâcha-t-elle en le regardant s'en aller. Elle claqua la porte derrière lui, sa gorge se nouait, elle sentait les larmes lui montaient aux yeux. Elle retourna au salon et prit son débardeur pour le remettre, elle laissa tout comme c'était et monta les escaliers en courant pour aller dans sa chambre, elle sauta sur son lit, geste enfantin, mais la jeune femme ne pouvait plus le voir se détruire, à chaque fois qu'elle essayait de le sortir de l'eau, il replongeait de lui-même, Ivy s’essoufflait et ça la blessait, elle s'endormit, les larmes aux yeux. Trois heures plus tard, Nils revient, ayant le double de la clé, il entra sans problème dans la maison et vit qu'elle n'avait rien remis en place, il monta les escaliers tout doucement, trouva Ivy sur son lit et vint s'allonger contre elle. Même si ils se déchiraient, ils étaient irrésistiblement attirée, Ivy lui avait déjà pardonné, elle lui pardonnait toujours, elle ne pouvait pas vivre avec l'idée de ne pas le faire. Elle était comme ça, surtout avec lui.

Ivy-Bell J. Greyson a écrit:

Oh j'avais pas vu pour le nom mais je veux bien un lien avec un beau goss comme ça tu as besoin d'une adorable -huuum- petite soeur ou cousine ?
Encore merci sinon !

Oh merci beaucoup vous deux. Ouais elle est magnifique

Tereza Petrova a écrit:

LA MAGNIFIQUE HENNING
bienvenue et bonne chance pour ta fiche (a)