Sujet: your girlfriend ? girl... friend ? do not humanize the enemy, ted • toby Lun 30 Jan - 17:57
Citation :
RFINEST
« blackheart, tobias george » “ All women are evil lying bitches, but I’m trying to be the good big brother here, so when she kicks the shit out of your heart, I’ll buy you a beer with my fake I.D. ”
Make this dream
nom ▲ Blackheart. prénom(s) ▲ Tobias Georgeâge ▲ 24 ansdate et lieu de naissance ▲ 17 septembre, Vancouvernationalité ▲ Canadienétudes/métier ▲ Galleristesituation familiale ▲ célibatairegroupe ▲ trouble comes.avatar ▲ Alex Pettyfer
The best i've ever known
si je te dis " bitchy cupid ", tu me réponds ? hum que c'est une pétasse ça vous suffit ? qu'elle doit avoir ses raisons après tout, on réagit comme ça pour une raison. que tant qu'elle ne s'attaque pas à moi, tout va bien : mais dès qu'elle s'approche un peu trop, attention, je mords. si je te dis " rio de janeiro ", tu me réponds ? la ville du rêve, du bonheur, et de tout ce qui va avec. que je suis arrivé ici par pur hasard, mais que finalement, j'aime plutôt l'endroit. la ville de la décadence, où faire la fête et draguer sont maîtres : ce qui n'est pas si mal. si je te dis " agissements de bitchy cupid ", tu me réponds ? que je n'ai jamais été touché par elle ; pour l'instant, elle me laisse en paix, mais pour encore combien de temps ? qu'elle doit me lâcher une bonne fois pour toute, je commence vraiment à en avoir assez. qu'elle m'a sûrement dans son collimateur, et que je l'attends au tournant cette pétasse.
Take me down like i'm a domino
pseudo/prénom ▲ ivyâge ▲ ça change chaque annéerégion ▲ belgique (petit pays en forme de flingue, mais si vous voyez!)comment as-tu trouvé WFL ? ▲ exotic et moi envisageons de nous marrier. elle me dit donc tout !et sinon, t'en penses quoi ? ▲ chaque fois que je vois le titre, y a le "tu lu tu tu" de la chanson qui me résonne dans les oreillesdernier mot ? ▲ in a hopeless place ♫
Dernière édition par Tobias Blackheart le Lun 6 Jan - 21:36, édité 7 fois
Sujet: Re: your girlfriend ? girl... friend ? do not humanize the enemy, ted • toby Lun 30 Jan - 17:58
Dirty dancing in the moonlight
Franchement, j’ai pas eu une vie qui vaut vraiment la peine d’être racontée. Et c’est probablement pour le mieux. Je suis à 99% sûr que si on avait demandé à Anne Frank si elle acceptait qu’on publie son journal et qu’on le fasse lire dans les classes, torturant des milliers d’écoliers, elle nous aurait assassiné avec un couteau de cuisine. Soit. Je suis né à Vancouver, ville géniale au Canada. J’espère que tu en as entendu parler, sinon google la, comme tout le monde. J’ai grandi là-bas et très honnêtement, si ça tenait qu’à moi, j’y serais resté toute ma vie. Puis j’y serais mort et je me serais réincarné en monument de là-bas pour être sûr de pas bouger. J’ai passé les 20 premières années de ma vie dans un grand appartement du centre ville, avec vue sur le Fraser (google je te dis). Je passais mes journées à jouer sur les quais du fleuve, à me balader en skate et en jeans troué. J’étais un de ces gosses de famille aisée qui prenait pourtant un intérêt particulier à se faire passer pour un gamin des rues. Faut dire que ma famille, c’était plutôt Oui-oui que Fight Club, et je la trouvais dépourvue de tout intérêt. Mais quel gosse est vraiment satisfait de son milieu, au fond ? Qu’est-ce qu’on est cons quand on est petits. Et justement, je ne regrette rien. J’aimerais tellement redevenir un petit garçon parfois. J’étais stupide mais j’avais ce petit air d’innocence qui faisait qu’on ne m’en voulait jamais vraiment longtemps. En particulier mes parents… Parlons-en de la famille justement. De ce côté-là, quand j’y pense, j’ai été plutôt gâté je crois. Non, pas je crois, je le sais. Mes parents font partie de la génération d’hippies révolutionnaires qui ont des idées un peu trop avant-gardistes sur l’éducation. Exemple, ils ont insisté pour que mon frère et moi les appelions par leurs prénoms. On a jamais eu droit à papa-maman comme tout gosse, pour nous c’était Norah et Todd. Pendant l’adolescence, quand j’allais chez mes copains et que je voyais cette relation super classique entre eux et leurs parents, un lien d’autorité-attachement comme dans 7 à la maison, j’étais super jaloux. J’avais l’impression que mes vieux me privaient de quelque chose. Que je n’avais pas droit à une enfance à proprement parler, qu’ils me voyaient comme un adulte et me traitaient comme tel. Je voulais me faire engueuler quand je faisais des conneries. Et croyez-moi, j’en faisais plus que mon quota. Mon enfance avait été si plate : de bons résultats sans être un génie, aucun drame, aucune mort tragique dans la famille, une relation parfaitement normale d’adoration mutuelle doublée d’une énorme propension à la baston avec mon petit frère, Thomas. (Oui, mes parents nous ont appellé Thomas et Tobias. Allez comprendre… Au moins c’était ni Sky ni Lightning Bolt, car oui, mon père m’a avoué qu’il a du faire preuve d’énormes capacités de persuasion pour que ma mère ne choisisse pas un de ceux-là. Mon père a toujours été un peu à côté de la plaque, mais ma charmante génitrice… c’est mille fois pire.) Autant dire que mon enfance ayant été d’une simplicité tellement morne, dès que la puberté s’est ramenée, comme tout petit con de mon âge, j’ai décidé de renverser la tendance. C’est donc là que je me suis mis à jouer aux racailles. J’ai eu des phases, à vrai dire. Laisse-moi réfléchir… Je pense que j’ai commencé par la phase punk. J’avais les cheveux teints en rouge et je portais une veste en cuir qui avait l’air de s’être fait attaquée par un essaim d’abeilles à force d’avoir été piquée et repiquée de badges à l’effigie de groupes de rock mythiques que, pour la plupart, j’écoutais même pas. J’ai été skateur, période où je me suis composé une collection de Nike assez sympathique. Puis j’ai été gangsta aussi, avec le bermuda porté trop bas et le maillot de basket. Cette époque me manque assez, j’avoue. Les fringues étaient confortables. C’est aussi la période pendant laquelle je fumais des joints constamment en pensant que ça allait me rendre irrésistible aux yeux des filles. Le jour où on s’est fait choper par le proviseur, alors que les parents de mes potes se chargeaient de leur faire le savon de leur vie, les miens se sont contentés de me dire « Toby, l’école refuse que tu fumes la marijuana dans l’enceinte de l’établissement, tu sais ? » avant de se lancer l’un l’autre un regard complice qui voulait clairement dire qu’ils allaient s’en rouler un petit une fois qu’ils nous auraient mis au lit mon frère et moi. Je ne leur en veux pas. Je les ai jamais vu stone, alors je m’en fiche. Qu’est-ce que vous voulez, ils étaient des artistes engagés tous les deux, et je ne sais trop comment, les toiles de ma mère ont rencontré un énorme succès, nous permettant de vivre sans jamais manquer de rien. C’est après des années d’aller-retour au commissariat, de renvois temporaires du bahut, d’un défilé constant de filles à la maison et de schizophrénie capillaire que je me suis trouvé. Et je me suis rendu compte que ce qui me botte vraiment, c’est l’art. Ironie du sort. Faut croire que la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre…
Une fois que j’ai arrêté de faire toutes mes conneries, j’ai été là telle la gestapo pour vérifier que mon frère, lui, ne les faisait pas. Certes, je l’emmenais en douce manger des cheesburgers dans les fast-food de la ville car au bercail, le mot d’ordre c’était « sauvez les moutons, mangez du carton » mais je pense pas que ça puisse pas être considéré comme un délit grave. J’avais 19 ans quand la famille a explosé. Je ne veux pas dire par là qu’on s’est tous tournés les uns contre les autres mais on a simplement pris des chemins différents. Mes parents sont partis à Rio, au Brésil, perfectionner leur art car l’Amérique du Sud, apparemment, est devenue le nouveau chemin de traverse de l’expression visuelle ou tout autre connerie de ce genre. Thomas est monté à Ottawa, étudier dans une école de surdoués – car oui, il avait toujours eu un Q.I. de loin supérieur à la moyenne et était un petit génie des maths – et moi j’ai décidé de m’en aller. Au sens propre. Mes parents, ayant beaucoup voyagé avant d’avoir des enfants, n’ayant pas arrêtés de nous rappeler à quel point ça avait été enrichissant, ont soutenu mon choix dès le début. J’ai pris un sac à dos, l’ai rempli de quelques caleçons, d’un calepin et de mon passeport, et je suis parti. J’ai voyagé pendant trois ans. Je suis allé boire de la vodka à Moscou, mangé des spaghettis à Rome, des gaufres à Bruxelles, j’ai testé les coffee shops d’Amsterdam. Et sur la route, je me suis rendu compte qu’on était des milliers dans le même cas, à prétendre chercher l’aventure alors qu’on se cherchait, nous. C’est une période de ma vie dont je garde que des souvenirs fragmentés, puzzle coloré et presque impossible à recomposer. Ça a été trois années aériennes de ma vie, qui ne se rattachent à rien, sans racines. C’était une période heureuse. J’étais libre, je faisais ce que je voulais. Jusqu’à ce que je tombe amoureux. Evidemment.
C’est probablement ça la grande tragédie de ma vie. L’amour. J’ai eu une amoureuse en maternelle. Elle a déménagé subitement et je n’ai plus jamais eu de ses nouvelles. J’ai eu une petite amie au collège, que j’adorais jusqu’à ce qu’elle me largue pour Steeve Rebeteson, le rebelle de la classe. J’ai eu une copine au lycée, que j’aimais, et qui m’a trompée une dizaine de fois avant que je le découvre. Tu vois, ça allait en empirant. Il est donc logique qu’à 22 ans, à Prague, je tombe fou amoureux. Et que ce ne soit pas réciproque. Du moins, si ça l’a été, ça n’a pas été suffisant. J’ai souffert et j’insistais, comme un crétin, à m’enfoncer la lame un peu plus dans le cœur. Donc, quand j’ai reçu un appel de mes parents, il y a deux ans maintenant, en larmes, me disant qu’ils avaient acheté une galerie à Rio et qu’ils voulaient que je vienne m’en occuper car je leur manquais trop, j’ai dit oui. J’avais trop fait durer ma torture. Alors j’ai remballé mon petit sac à dos et je suis reparti en sens inverse. C’est là que j’en suis. Et tout se passe bien. Mieux que je ne l’aurais cru. J’appelle mon frère tous les trois jours, il est marié maintenant, vous imaginez ça ? A tout juste 20 ans. Bien sûr, en tant que bon témoin, j’ai profité de la cérémonie pour conclure avec la jolie demoiselle d’honneur, fidèle à moi-même. J’ai mon appart, j’ai un salaire un peu trop élevé pour ce que je fais mais qui serais-je pour oser me plaindre à Norah et Todd ? Alors appelle moi, on va se prendre un bière – c’est ma tournée – et tu me racontes ton histoire à toi ?
Dernière édition par Tobias Blackheart le Lun 30 Jan - 21:11, édité 3 fois
Tereza Petrova
DAMNED SOUL † I feel like I’m a hopeless romantic.
◮ messages : 1134 ◮ arivée le : 08/01/2012 ◮ pseudo : stereo hearts. ◮ célébrité : kristen HOTNESS stewart ◮ crédits : madeeplies (vava) & gif (tumblr)
Sujet: Re: your girlfriend ? girl... friend ? do not humanize the enemy, ted • toby Lun 30 Jan - 17:59
Gosh Pettyfer j'étais à deux doigts de le prendre en scénario bienvenue et bonne chance pour ta fiche (a)
Dernière édition par Tereza Petrova le Lun 30 Jan - 18:24, édité 1 fois
Nicholas Hitt
NICOCHAUD ◮ dieu a appelé, il aimerait récupérer son corps.
◮ messages : 444 ◮ arivée le : 09/01/2012 ◮ pseudo : emotional bullshit. ◮ célébrité : joseph DIEU morgan. ◮ crédits : special thx to Delena and tumblr.
Sujet: Re: your girlfriend ? girl... friend ? do not humanize the enemy, ted • toby Lun 30 Jan - 18:00
PERFECTION ALEEEEEEX ! Bon, ça fera plus d'effet avec Neena, je te referai un bienvenue.
Bienvenue parmi nous en tout cas, et faut qu'on fasse des trucs cochons, j'en parle à Neena encore une fois, parce qu'avec Nicho (a) Quoi que *sbaff* bonne continuation pour ta fiche !
Sujet: Re: your girlfriend ? girl... friend ? do not humanize the enemy, ted • toby Lun 30 Jan - 18:36
Bon, alors jamais de ma vie j'ai eu un accueil pareil. Je vais donc commencer par vous faire un énorme câlin à tous et vous offrir une clé de ma chambre, à utiliser sans modération Pour le lion, Siohban, dès que je suis validé je viendrais te le réclamer
Samuel-Eden Grayson
GOING TO HELL Nevermind, i'll find someone like you
◮ messages : 269 ◮ arivée le : 10/01/2012 ◮ pseudo : Exotic ◮ célébrité : Ryan Gosling, le meilleur ◮ crédits : blondie | tumblr.
Sujet: Re: your girlfriend ? girl... friend ? do not humanize the enemy, ted • toby Lun 30 Jan - 18:41
Nomého, tes clés de ta chambre, t'a pas honte !
Tereza Petrova
DAMNED SOUL † I feel like I’m a hopeless romantic.
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Sujet: Re: your girlfriend ? girl... friend ? do not humanize the enemy, ted • toby Lun 30 Jan - 18:51
C'est ça qui est génial au Monopoly ?!Tu joues jusqu'à ce que tu scratches une durite et tout le monde s'engueule et ça finit en bain de sang, youhou ! Moi je dis luttons contre la surpopulation mondiale, jouons monopoly ! et sur ce je m'en vais faire ma fiche en membre irréprochable que je suis.